Depuis qu'Alice est en âge de s'intéresser aux poupées (ça a dû commencer vers l'âge de 18 mois environs), je me suis donné pour mission de ne pas l'envahir de modèles en tout genres, mais de miser plutôt sur quelques exemplaires de qualité. Dans un premier temps, je me suis bien évidemment tournée vers Corolle, la poupée fétiche de mon enfance, puis, j'ai rapidement découvert la magnifique marque Paola Reina. Et à la maison, nous sommes très loin d'en être déçus. Nous vous proposons donc aujourd'hui un petit tour d'horizon de cette jolie franchise espagnole à travers les modèles que nous possédons.
DESCRIPTION DE LA MARQUE
Paola Reina a vu le jour en 1997 à Onil en Espagne. Dès sa création, la marque se donne pour but de défendre le multiculturalisme avec des poupées issues de différentes ethnies. C'est ce qui en fait un signe distinctif encore aujourd'hui.
Les Paola Reina ont fêté l'année dernière leurs 25 ans et s'exportent désormais à travers le monde entier. Elles sont fabriquées à 100% en Espagne dans des matériaux de haute qualité. Le corps est composé de PVC souple sans phtalates et sans produits chimiques. Elles sont numérotées (ainsi que les vêtements qui les accompagnent), ce qui en fait des articles uniques.
La marque propose différentes gammes :
- Les Paolitos : Elles mesures 21 cm et sont d'excellentes premières poupées pour les tout petits. Elles sont sexuées, ce qui permet dès le plus jeune âge de commencer à distinguer les filles des garçons.
- Les poupées Gordis : Ce sont d'adorables poupons de 34 cm sexués également.
- Las Amigas : Elles mesures 32 cm, mais ont un look plus "petites filles".
- Las Reinas : De grandes poupées articulées de 60 cm.
Ici, nous avons opté pour un modèle de bébé Gordi fille asiatique aux yeux clairs (achetée chez Louli Des Bois) et pour une grande poupée "Lidia ballerine" articulée.
Chaque gamme est accompagnée d'une multitude de vêtements ou accessoires afin de créer des univers uniques (métiers, occasions, saisons, activités...). Il existe aussi des modèles "petits garçons".
POUR QUI ?
Pour les enfants à partir de 3 ans dans un souci de jeu d'imitation, mais bien entendu, les poupées n'ont rien de dangereux avant cela.
LES PETITS PLUS
Comment ne pas tomber raide dingue de leurs bouilles d'anges ? Vraiment, elles sont à croquer. La marque propose une étendue très large de modèles, si bien qu'il est parfois difficile de se décider pour l'un ou l'autre. On les voudrait toutes !
De plus, tout comme Corolle, elles dégagent un doux parfum de vanille.
De part leur multitude de choix de personnalisation, elles sont un excellent jouet pour aider l'enfant à développer sa façon de penser et sa communication. On peut facilement trouver un modèle qui ressemble à la petite fille à qui on adresse le jouet. En pouponnant ou bien en jouant avec la poupée comme s'il s'agissait d'une amie, l'enfant verbalise en permanence ce qu'il fait par imitation du monde adulte. Qu'est-ce que j'ai pu rire à observer Alice imaginer des scènes du quotidien. On peut apprendre beaucoup de choses lorsqu'un enfant exprime ses émotions à travers sa poupée.
LES PETITS MOINS
Le prix de certaines poupées est assez exorbitant. Je voulais absolument qu'Alice ait une jolie et grande poupée. Celles de la gammes « Las Reinas » avoisinent les 100 euros, voire plus en fonction des vêtements et accessoires choisis. Ça refroidit un peu, mais nous avons attendu une belle occasion pour la lui offrir en cadeau de groupe.
En revanche, les modèles « Gordis » de 34 cm sont très abordables aux alentours de 20 euros.
P.S : La tenue que porte le poupon sur la photo n'était pas vendue avec à la base. Nous l'avons trouvé sur le site Etsy, où plein de créateurs font de magnifiques tenues pour ce type de poupées. Je vous conseille d'aller y faire un tour.
L'AVIS DES MOUTIKS
Alice : « Je voudrais avoir des cheveux longs comme ma grande poupée. J'aime lui faire plein de belles coiffures ».
L'avis de maman Moutik : On les aime vraiment beaucoup. Pour le moment, nous n'en avons que deux en notre possession, mais il est vrai que d'autres modèles nous font de l’œil... Affaire à suivre.
